Dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, Rousseau reconnait la bonté naturelle dans l’homme: «l’homme est naturellement bon, je crois l’avoir demontré». En plus, il conduit la «maxime de bonté naturelle» de «l’amour de soi» et «la pitié». Il est dit que «Fais ton bien avec le moindre mal d’autrui qu’il est possible». La telle pensée a le côté cohérent dans les oeuvres suivantes, cependant le déroulement du contenu et de la importance est trouvé.
Dans le Discours sur l’inégalité, la bonté naturelle souligne originairement que les Sauvages ne blessent pas intentionnellement sur les autres. Pourtant, dans La Nouvelle Héloïse, il est proposé que l'homme a l’amour des vertus, la penchant à ce qui est bon et la capacité de sentir ce qui est bien.
De plus, dans La Nouvelle Héloïse, il y a la discussion que le bonheur d'autres devient la joie de soi et que le bonheur d'un ami atténue son malheur. Ce sont les vues qui dépassent la «maxime de bonté naturelle» dans le Discours sur l’inégalité.
Alors, pourquoi est-ce que la discussion de Rousseau change? Nous considérons le problème de la bonté naturelle dans La Nouvelle Héloïse.
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